Le dimanche à Bamako (Amadou et Mariam)

Si tu es célibataire et que tu déprimes,
Si toi aussi tu viens de vivre une rupture et que tu déprimes,
Si toi aussi tu as du mal à te remettre d'une rupture et que tu déprimes,
Si toi aussi tu crois que personne ne voudras de toi et que tu déprimes,
Si toi aussi tu ne rêve que d'une chose c'est de faire le plein d'affection mais qu'en attendant, tu déprimes, ce message est pour toi.

Lorsque tu déprimes, en général, tu te confonds dans ton malheur, je n'sais pas trop pourquoi, mais c'est d'usage que de creuser et creuser encore, se morfondre et se plaindre, c'est la norme faut pas chercher à comprendre. Bref on s'écarte du sujet, donc je disais, si tu déprimes toi aussi tu connais cette impression de vouloir rester dans cette sécrétion fécale, tu sais ce que veut dire faire en sorte de se pourrir soi même, tu regardes encore et encore les photos/vidéos..., tu retourne dans cet endroit qui t'es si cher et chargé de souvenirs...
En somme une sorte d'auto flagellation.

Si toi aussi tu es à la recherche d'un nouveau mode d'autodestruction, en exclusivité pour toi lecteur ( si tu existes vraiment) la réponse est là:

Le dimanche à Ikea!

Pour les raisons qui sont les suivantes:
1 il n'y a pratiquement que des couples ( présents pour te rappeler que tu es seul(e) )
2 les présents couples sont là pour aménager un intérieur commun (ce qui te rappelle comme une claque dans la gueule que tu vis toujours chez tes parents et que la seule chose que tu aménageras c'est ta chambre Barbie (ou Batman) )
3 ces couples là il n'ont de cesse de se lover, se galocher, se papouiller ( ce qui te rappellera à quel point toi aussi tu veux des câlins)
4 parmi tous ces couples tu en rencontres quelques uns que tu connais et qui te disent: "et alors toi qu'est ce que tu attends?" ( qu'on veuille de moi connard!)

En définitive, le dimanche à Ikea est un bonne méthode de torture testée par mes soins, jusqu'à présent je ne suis pas convaincue par l'efficacité du traitement de la douleur par la douleur, mais c'est tout ce qu'il y a mes enfants!

Les formations

Formation: action de former, fait de se former ou d'être formé

Après un périple de trois jours à travers les terres picardes, je constate toujours que l 'I*** et moi même ne partageons pas la même définition.

Je fais ce que je veux...avec mes cheveux!

j'ai surtout envie d'écrire quand ça ne va pas, ça en soûlera sûrement certains (en même temps cet espace ne doit pas être très fréquenté) mais actually, c'est mon blog à moi donc je m'en tamponne le coquillart!!

Du coup bah oui plus de suspens: ça ne va pas.

ça fait déjà un petit bout de temps que c'est fini, pourtant pas un jour ne passe sans que je ne pense à lui, je sais, je sais, ça fait très parole de chanson à la Hélène Ségara mais en même temps c'est tellement vrai (pas les chansons de la femmes aux hommes aux cheveux long) mais le fait que j'y pense constament. Dans un premier temps il a fallu accuser le coup (août), analyser le pourquoi du comment ( septembre - novembre), puis se soumettre à l'idée ( novembre - décembre) puis essayer d'oublier (décembre...????)
Le pire c'est que (oui passeque ya toujours un pire comme ya toujours un mais) donc je disais, le pire c'est que je crois (passeque à c'qu'on me dit it's just an illusion) c'est que j'l'aime encore!!!

Blague à part, je n'arrive pas à m'en détacher je ne peux le bloquer ni le virer de mes contacts "facebook" passeque c'est la seule chose qui me rattache à lui et j'ai encore un œil sur ce qu'il fait, ceci étant j'ai bien conscience que ça ne m'aide en aucun cas mais c'est inévitable, je reste encore et toujours sur ma faim, je justifie ça par la nature de cette rupture quelque peu frustrante, j'ai tant besoin d'explications et j'ai besoin de dire tout ce que je n'ai pas pu dire (je sens une rechute vers la variété française) toujours est-il que j'en suis au même point...

Je suis triste